« Boubacar Camara dresse la liste des obstacles à l’essor du Sénégal : 7 défis majeurs à relever »


« Boubacar Kamara expose les 7 fléaux qui nuisent au développement du Sénégal lors de son passage à l’émission L’opinion sur Walf. Parmi ces maux figurent la manipulation de la Constitution pour servir des intérêts particuliers, les menaces pesant sur la paix et la sécurité, le dysfonctionnement du système électoral, le chômage des jeunes entraînant une émigration irrégulière, la politique politicienne nuisible à l’administration et à la justice, la corruption et le manque de respect. Ces sujets cruciaux doivent être abordés avec sérieux pour permettre au Sénégal de progresser vers un avenir meilleur. »
Le candidat en lice pour l’élection présidentielle a sévèrement dénoncé le dialogue national, le qualifiant de « Sainte Alliance » destinée à protéger l’ancien système politique plutôt que de répondre aux aspirations de la nouvelle opposition politique qui aspire à sauver le Sénégal. Selon ses propos, ce dialogue ne sert pas les intérêts du pays mais favorise plutôt une certaine élite politique. Cette critique souligne les profondes divergences entre les différents acteurs politiques du pays concernant l’efficacité et la sincérité du processus de dialogue national.
L’ancien Directeur des Douanes a également soulevé la question de « la pseudo-réforme du parrainage », critiquant le maintien de la principale lacune, à savoir le système de parrainage unique par citoyen, ainsi que l’absence de recours pour ceux dont le parrainage est rejeté. Selon lui, ces aspects de la réforme sont préoccupants et remettent en question la démocratie et l’inclusivité du processus électoral. Cette prise de position met en évidence les préoccupations concernant les mécanismes de parrainage en place pour les élections, et souligne les différends sur la manière dont les réformes électorales sont envisagées et mises en œuvre.

Création de l’Office Central de la Prévention , de Contrôle et de Lutte contre la Corruption .
Enfin sur la suppression de la CREI et l’avènement du parquet financier, il estime que “la mesure est incomplète en ce qu’elle laisse en rade les réformes indispensables des autres institutions comme l’OFNAC, l’IGE et les autres institutions de contrôle interne”. Cette suppression par le régime qui l’a laissée tomber en désuétude “après s’en être servi pour éliminer un potentiel candidat”, selon lui, est également jugée “suspecte à quelques mois de l’élection présidentielle sans candidat sortant”.M. Camara préconise la mise en place de l’Office Central de la Prévention, de Contrôle et de Lutte contre la Corruption et les délits voisins, institution financièrement et techniquement autonome.
Avec Le Président Boubacar CAMARA dit Kamâh,la maturité est au service du peuple.
Vive le PCS_JENGU TABAX
KAMÂH24
Le choix du peuple